Vingt-heures après la décision de la Cour africaine des droits de l’Homme et des peuples (CADHP), le gouvernement ivoirien par la voix du ministre de la Communication et des Médias, a réagi. Dans une note d’information, le porte-parole du gouvernement s’est refusé à tout commentaire. Toutefois, il a souligné que les procédures engagées par la justice ivoirienne restent en cours. « Le gouvernement n’a pas de commentaire à faire sur cette décision. Ce qu’il faut toutefois relever c’est que les procédures engagées par la justice ivoirienne restent cours », mentionne la note.
Dans un arrêt rendu le mercredi 22 avril, la Cour africaine des droits de l’Homme et des peuples a ordonnée à l’Etat de surseoir à l’exécution du mandat d’arrêt émis contre Guillaume Soro et la mise en liberté provisoire de ses collaborateurs dont l’ex-ministre Alain Lobognon.
César Ebrokié